Cyril habite à Dublin depuis une dizaine d’années. Avec sa femme, il a choisi de se constituer un patrimoine immobilier à Toulouse via deux investissements, l’un en Pinel, l’autre en direct via un chasseur recommandé par la Communauté Immoneos. Dans cet interview, il nous partage sa stratégie sur comment Investir dans l’immobilier à Toulouse.
Bonjour Cyril, peux-tu te présenter et nous parler de ton parcours ?
Je vis en Irlande, près de Dublin, avec ma femme et nos deux enfants depuis maintenant 9 ans. Je travaille chez Intel en tant qu’ingénieur, tandis que mon épouse est auxiliaire de vie en école primaire. Bien que nous soyons originaires de la Savoie et des Alpes-Maritimes, nous avons fait le choix d’investir dans l’immobilier à Toulouse, une ville dynamique que je connais bien.
Pourquoi avoir choisi d’Investir dans l’immobilier à Toulouse?
Toulouse n’est pas une ville où nous avons des attaches familiales, mais j’y ai fait mes études, donc je connais bien la ville et ses opportunités. C’est une ville porteuse avec un bon potentiel de valorisation à long terme. J’avais déjà un appartement en périphérie dans le cadre d’un investissement en loi Scellier, et je souhaitais continuer dans cette direction avec un bien en centre-ville. Toulouse est en plein essor, ce qui la rend intéressante pour l’investissement, et je suis confiant que la valeur de nos biens se maintiendra.
Peux-tu nous parler du bien que tu as acquis ?
Nous avons acheté un joli T2 de 40 m² avec une terrasse de 10 m², dans une résidence avec piscine, bien située près du centre-ville. Ce n’était pas un critère, mais la piscine ajoute une petite touche sympa ! Le bien a été acheté pour 185 000 €, et nous avons opté pour une location nue, avec un loyer de 760 € charges comprises. Le rendement de 5 % est correct pour une ville comme Toulouse, et l’appartement est en bon état, sans travaux à prévoir, ce qui facilite la gestion à distance.
Pourquoi avoir choisi une location nue plutôt qu’un meublé ?
Nous voulions éviter la gestion des meubles, leur remplacement fréquent et les coûts supplémentaires liés à un meublé. L’objectif était d’avoir un investissement simple et surtout stable, avec des locataires qui restent plus longtemps. Cela nous permet de bénéficier d’une gestion plus tranquille, d’autant que nous ne payons pas d’impôt sur les revenus fonciers grâce aux intérêts d’emprunt.
Comment s’est passée la recherche du bien et le financement ?
Nous avons travaillé avec Laurence, une chasseuse immobilière recommandée par Immoneos. Elle a tout de suite compris nos attentes : nous cherchions un bien récent, dans une petite copropriété, et elle nous a proposé une dizaine de biens, tous en ligne avec notre projet. Les visites se sont faites virtuellement, ce qui est un vrai plus pour des expatriés qui comme nous veulent Investir dans l’immobilier à Toulouse.
Pour le financement, nous avons obtenu un prêt de 150 000 € à la BNP, grâce à Pretto. Malheureusement, notre conseiller Pretto est tombé en arrêt maladie, ce qui a ralenti le processus et a failli nous coûter l’achat. Heureusement, avec l’aide de Laurence, nous avons pu négocier un délai supplémentaire pour la signature. [voir ici les contacts des courtiers de confiance recommandés par la communauté Immoneos]
Le loyer couvre-t-il le crédit ?
Pas tout à fait. Nous sommes en cash-flow négatif à cause du taux d’emprunt élevé de 4,02 %, des charges, de la taxe foncière (plus de 1 000 €) et des frais de gestion de l’agence. Le loyer couvre environ la moitié de la mensualité. Mais avec l’inflation des loyers et la possibilité de renégocier notre taux à l’avenir, nous pensons que la situation s’équilibrera avec le temps. En France, la magie des taux fixes est un vrai avantage par rapport à l’Irlande où ils varient plus souvent.
Quel conseil donnerais-tu aux expatriés qui souhaitent investir dans l’immobilier à Toulouse ?
Investir dans l’immobilier à Toulouse en tant qu’expatrié comporte ses défis, notamment lorsqu’il s’agit de gérer la distance et les aspects fiscaux. C’est pourquoi il est essentiel de s’entourer de bons partenaires, comme une chasseuse immobilière qui connaît bien le marché local et peut simplifier les démarches. Dans notre cas, Laurence a été une alliée précieuse : elle a compris nos besoins et a géré toutes les visites pour nous. C’est un grand avantage quand on vit à l’étranger et qu’on ne peut pas se déplacer facilement. Pour Toulouse, je conseille de viser les quartiers à fort potentiel, notamment ceux qui bénéficieront de la 3e ligne de métro en construction. Cela garantit une valorisation à long terme, car l’accessibilité est l’un des facteurs clés en immobilier.
De manière générale, pour tout expatrié souhaitant investir en France, il est crucial de bien se renseigner sur les règles fiscales spécifiques à votre situation. Certains dispositifs de défiscalisation peuvent être attrayants, mais attention aux conditions liées à la résidence fiscale, qui peuvent annuler les avantages si vous êtes à l’étranger. La gestion locative est également un point central : optez pour une agence de confiance pour éviter les soucis quotidiens et favoriser une gestion sereine à distance.
Y a-t-il des erreurs que tu ne referais pas ?
Notre première acquisition en loi Scellier nous a appris beaucoup. Les dispositifs de défiscalisation comme celui-ci peuvent sembler très attractifs, mais ils ne sont pas toujours adaptés à une situation d’expatriation. Nous avons perdu l’avantage fiscal en quittant la France, car ces dispositifs sont souvent conditionnés à la résidence fiscale. Donc, je recommande vivement à tout expatrié de bien comprendre les implications fiscales avant de se lancer.
Un autre point crucial est l’emplacement. En immobilier, on dit souvent que l’emplacement est la règle d’or, et c’est vrai. Un promoteur peut proposer des prix attractifs dans des zones moins bien cotées, mais il faut toujours penser à la valorisation du bien à long terme. Choisir un quartier avec un bon potentiel de développement est essentiel, surtout dans le cadre d’un investissement locatif. Pour éviter les mauvaises surprises, faites bien vos recherches et privilégiez des emplacements stratégiques, même si le prix d’achat est plus élevé.
Nous remercions Cyril pour cet interview sur comment Investir dans l’immobilier à Toulouse. Si vous avez des questions ou souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à rejoindre la communauté Immoneos sur Facebook, et à vous abonner à notre newsletter ici ou sur Linkedin.
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