[WEBINAIRE] Investir dans l’immobilier à Toulouse depuis l’étranger

investir a toulouse depuis l'étranger
investir a toulouse depuis l'étranger

Intéressé(e) pour investir à Toulouse depuis l’étranger? Voici le replay de la conférence Immoneos sur l’immobilier à Toulouse du 29 Avril 2021.

Rejoins la première communauté d’entraide entre investisseurs immobilier expatriés
C’est entièrement gratuit
Il suffit d’habiter à l’étranger pour pouvoir rejoindre le groupe !

De plus en plus d’expatriés s’intéressent à l’investissement immobilier à Toulouse, une ville dynamique à la fois étudiante, avec un tissu industriel solide et avec un large choix d’investissements (centre historique, colocation, …).

Voici le replay du Webinaire Immoneos sur « investir à Toulouse depuis l’étranger » du jeudi 29 avril 2021. On y retrouve Guillaume, chasseur immobilier recommandé par des membres de la communauté Immoneos dont le parcours est étonnant. Ancien joueur de foot professionnel, il a joué en équipe de France. Il nous partagera son parcours et comment il a conservé sa rigueur et son énergie suite à sa reconversion. Le contacter via ce lien pour une étude personnalisée pour investir à Toulouse depuis l’étranger :

Transcription de la vidéo « investir à Toulouse depuis l’étranger » :

Remi

Quelques mots sur le site www.immoneos.fr , site sur lequel vous trouvez un certain nombre de dossiers très intéressants et souvent mis à jour.

Parmi les dossiers les plus souvent mis à jour, il y a le baromètre des taux des crédits immobiliers proposés aux non-résidents. Comme son nom l’indique, ce n’est pas uniquement le taux qu’on présente, mais également les conditions et on détaille dans ce dossier l’importance de regarder non seulement le taux, mais également les conditions, que soit l’apport, que ce soit la flexibilité de remboursement anticipé, c’est bien expliqué comment aborder les offres de crédit que vous pouvez obtenir.

Un autre baromètre qu’on met à jour régulièrement,  c’est le baromètre de l’investissement locatif, où vous retrouvez des exemples d’investissements réellement réalisés par des membres de la communauté, avec des chiffres détaillés sur leur mode de location, le rendement brut qu’ils effectuent, est-ce qu’ils font de la coloc, du nu ou du meublé, est-ce qu’ils ont monté une SCI, ainsi que des informations qu’on arrive à agréger sur l’évolution du marché immobilier et de la démographie dans différentes villes.

Bien sûr, sur www.immoneos.fr vous trouvez aussi un certain nombre de dossiers, aussi bien sur l’investissement que sur les loyers impayés, un dossier complet sur la SCI, un dossier complet sur le meublé, ainsi que des informations sur tout ce qui est lié à la fiscalité.

Enfin comme vous le savez, sur le site vous avez aussi une section pour être mis en relation directement avec des chasseurs comme Guillaume. Mais si d’autres villes vous intéressent, vous pouvez être mis en relation avec des chasseurs dans d’autres villes, des courtiers en crédit immobilier qui sont vraiment spécialisés pour les expatriés pour répondre précisément à vos attentes, des experts comptables et des assurances de prêt pour optimiser cette partie de votre prêt.

Voilà encore merci pour votre confiance et votre participation, je vais passez directement la main à Guillaume. Guillaume, avec qui on travaille depuis pratiquement un an, pratiquement le début d’Immoneos, qui a été introduit par un des premiers membres de la communauté, comme un chasseur de confiance à Toulouse. Depuis, il a accompagné un certain nombre de membres de la communauté Immoneos dans leurs investissements. Bien sûr, pour respecter l’anonymat il ne va pas donner les noms mais il va partager un certain nombre d’investissements qui ont été faits par des français à l’étranger à Toulouse.

Guillaume, c’est à toi. Je te laisse la parole.

Guillaume

Je te remercie pour ton introduction. Bonjour à tous, merci d’être présents aujourd’hui.

Je vais faire un partage d’écran pour que vous ayez un peu de visuel par rapport à cette présentation. Alors je suis comme Remi l’a dit, chasseur immobilier à Toulouse. Mon parcours simplement pour me présenter succinctement, j’étais en fait ancien footballeur professionnel, passionné d’immobilier. J’ai eu la chance très jeune de jouer aux Girondins de Bordeaux et d’être professionnel là-bas et ensuite de faire une carrière à travers la France. Je suis natif de Nice initialement, le football m’a amené à voyager pas mal et d’atterrir finalement à Toulouse. J’ai moi-même très tôt investi dans l’immobilier et je me suis formé tout au long de ma carrière.

J’ai été international français, donc j’ai joué en équipe de France de jeunes, ce qui m’a permis aussi d’avoir un réseau assez large dans le football et un réseau intéressant. Et surtout, j’ai pu me rendre compte qu’il y avait un souci au niveau des sportifs de haut niveau par rapport à leurs investissements immobiliers, qu’ils n’avaient pas toujours des gens pour les accompagner. Il faut savoir, étant donné que les sportifs de haut niveau peuvent avoir des fois certains revenus ou autres, que la nébuleuse qui est autour d’eux n’est pas toujours saine et qu’ils étaient amenés à chercher des gens de confiance. C’est pour ça que quand je suis arrivé sur ma fin de carrière à Toulouse, il y a cinq ou six ans de cela, j’ai voulu me lancer à mon compte et créer une structure de chasseur immobilier pour justement aider les sportifs de haut niveau à investir dans l’immobilier. Du fait des carrières sportives effectivement, les sportifs sont aussi partis jouer à l’étranger, etc. et donc, du coup, j’ai ouvert le concept aux expatriés et c’est comme ça que j’ai pu travailler avec des personnes de Singapour, de Malaisie et autre, et des personnes qui ont parlé de moi, justement à Remi et notamment la communauté Immoneos.

Donc moi, je suis aussi formateur d’ailleurs pour les sportifs de haut niveau qui souhaitent faire comme moi, de la chasse immobilière. Donc aujourd’hui, je suis à peu près une quinzaine de joueurs de foot, basketteurs, justement pour leur apprendre les rudiments de l’immobilier, de l’investissement locatif et de comment investir.

Voilà pour la présentation succincte, et pour que vous puissiez aussi comprendre comment j’ai fait pour travailler sur Toulouse : quand j’ai commencé à travailler au début, j’ai travaillé dans la location et dans la gestion dans une agence qui avait énormément de biens et ça m’a permis si vous voulez, de découvrir vraiment la ville surtout que j’ai fait les périodes de chauffe en d’été avec les étudiants où là, c’est très intense et effectivement, j’ai pu comprendre les prix, le marché, les colocations, les studios, les T2, le nu, le meublé, c’était très intéressant pour moi comme découverte de la ville et ça m’a permis aussi de comprendre le marché.

Je vais vous faire une petite présentation vraiment succincte de Toulouse. Donc Toulouse même c’est à peu près 500 000 habitants, 480 000, une aire urbaine de plus d’un million d’habitants. Aujourd’hui, c’est la quatrième ville de France et surtout pour les investisseurs, c’est ça qui va vous parler, c’est l’afflux, la croissance démographique de la ville de Toulouse c’est 5000 habitants dans Toulouse et c’est plus de 15 000 sur l’aire urbaine tous les ans. De ce qu’il se dit, on va peut-être bientôt, d’ici une dizaine ou une quinzaine d’années, arriver sur des populations comme sur des villes comme Lyon ou autre. Donc, c’est vrai que c’est évidemment une donnée intéressante pour les investisseurs.

On est dans le top 3 des villes étudiantes en France, Toulouse est une ville extrêmement jeune. Évidemment, il y a énormément d’écoles et universités et au-delà de ce facteur étudiant que les gens connaissent, on a aussi un taux de conversion entre les étudiants qui viennent à Toulouse et les étudiants qui sont embauchés derrière et qui restent à Toulouse. Ce qui fait qu’en fait, on a effectivement une population jeune étudiante de 20 à 27-28 ans et on a aussi derrière justement cette population de 28-39 ans qui est sur Toulouse. Ça fait qu’on a vraiment beaucoup de jeunes sur Toulouse. Et enfin, les points qui caractérisent Toulouse, forcément, Airbus, l’aéronautique, le spatial aussi, la santé, qui sont vraiment des pôles reconnus à Toulouse et en Europe, surtout par rapport à Airbus, mais aussi notamment sur la santé on a le Cancéropôle, l’Oncopôle, qui sont des lieux vraiment très dynamiques. Et après on connaît la Ville rose avec notre pierre d’argile rouge et c’est une très belle ville au niveau architectural aussi. On est proche de l’Espagne et du coup, on vit un petit peu à l’espagnole, donc on souffre en ce moment tant de COVID, mais il y a bien un art de vivre qui est très sympathique et qui est apprécié par les jeunes.

On a l’ensoleillement, nous sommes cachés entre mer et montagne, donc c’est aussi un bel emplacement.

Donc pour la présentation géographique et économique de Toulouse. Pour rentrer un petit peu dans le détail de Toulouse, comme je le disais on a les points forts forcément, c’est le dynamisme économique, les bassins d’emploi, les étudiants, mais on a des projets urbains aujourd’hui qui vont vous intéresser et qui font que la ville va encore continuer à rester dans cette croissance économique et démographique.

On a un projet de troisième ligne de métro qui est en cours, qui est voté, donc on connait déjà les emplacements des diverses bouches de métro et des stations. Donc forcément, dans l’immobilier, quand vous avez une station de métro qui arrive, ça va faire gonfler un peu les prix, ça va amener de l’attractivité. Donc, on a une troisième ligne de métro qui va passer par l’est toulousain et qui va relier le sud de Toulouse où on a si vous voulez un gros foyer d’étudiants et le nord de Toulouse où on a l’aéroport et Airbus. Donc voilà, cette ligne de métro est un point intéressant.

Au niveau de la gare de Toulouse, il y a des projets urbains qui sont assez faramineux pour développer du logement. Si vous voulez, il y avait une légende urbaine à Toulouse qui disait qu’on allait avoir la ligne à grande vitesse qui allait relier Bordeaux et derrière Paris. Et on a récemment eu la confirmation que ce projet allait se faire. On n’est pas sur du court terme, on a des dates à 2020-2030, mais il faut savoir que des villes comme Bordeaux, où aujourd’hui les prix ont complètement flambé on le sait, de par l’arrivée de la ligne à grande vitesse et la liaison qui a pu se faire entre Paris et Bordeaux. Donc ça c’est un point, sait que ça va arriver et donc forcément, les gens qui investissent encore maintenant bénéficieront en termes de qualité patrimoniale et de plus-value sur le long terme aussi, de ce facteur-là, de la ligne à grande vitesse qui arrivera, c’est certain, sur Toulouse.

C’est vraiment un point positif.

Un point aussi intéressant à mentionner, c’est qu’en fait sur Toulouse, on a plusieurs foyers étudiants. Si vous voulez on a effectivement dans le sud un gros pôle avec des facultés, on en a un très important aussi au niveau de l’ouest toulousain et on en a dans le centre-ville, dans l’hyper centre, vers le Capitole. Mais on a quantités d’écoles, un petit peu de partout dans la ville.

Et en fait, si vous voulez, c’est un des points positifs. C’est que quel que soit quasiment le secteur où on va investir, on va pouvoir généralement toucher beaucoup de cibles de locataires : jeunes actifs, étudiants, familles. Parce que si vous voulez les écoles sont vraiment dissimulées dans la ville.

En termes de prix, Toulouse par rapport à certaines grosses villes françaises, on est abordable. Je ne compare même pas Paris, qui est un micromarché, mais je vais parler de Lyon, je vais parler de Bordeaux où, effectivement les prix sont quand même très élevés. Il y a bien évidemment dans ces villes-là une qualité patrimoniale, bien évidemment, aussi à Toulouse, mais pour aller chercher de la rentabilité, ça devient de plus en plus compliqué. Et on a aussi eu des hausses de prix assez importantes.

On voit qu’à Toulouse, aujourd’hui, on a des prix qui sont moins élevés. Je suis toujours par contre méfiant par rapport au prix au mètre carré qu’on peut donner, c’est pour ça que je ne le mentionne pas forcément. Pourquoi ? Parce qu’il est forcément, plus la surface est petite, plus le prix au mètre carré va être élevé et plus la surface est grande et le prix au mètre carré va diminuer. Et donc, de secteur en secteur aussi les prix au mètre carré sont différents, donc c’est difficile pour moi de donner un prix juste, parce que ça va aussi dépendre des projets de chacun. On peut parler d’un studio, il peut être en hyper centre, il peut être tout au sud de la ville et les prix vont complètement changer. Donc je m’entends, c’est pour ça que je ne donne pas de prix précis par rapport au mètre carré.

Ceci étant dit, effectivement, Toulouse est moins chère que certaines grandes villes françaises mais Toulouse a une augmentation des prix qui est assez linéaire, même si depuis deux ans, effectivement, on a eu comme dans pas mal de villes comme Nantes, Rennes où on a eu une augmentation des prix un peu plus importante parce qu’avec une baisse des taux, donc des taux qui ont été très bas, les banques ont vraiment ouvert les robinets, ce qui a fait qu’on a eu beaucoup d’investisseurs. Et donc, forcément les prix ont augmenté.

Un point au niveau locatif, c’est aussi ce qui va vous intéresser. On a une demande locative très tendue à Toulouse, pour avoir aussi travaillé en location, avoir ouvert un service de location gestion, à Toulouse vous choisissez plutôt votre locataire. Le plus difficile ce n’est pas de louer, c’est de trouver le bon profil et le bon dossier. Je reparlerai du locatif et de la crise parce qu’il y a quand même des évolutions de par cette pandémie et de par l’émergence du télétravail et autres. Mais j’y reviendrai un peu plus tard.

Ma méthode, il y a pas mal de choses inscrites mais c’est assez simple en soi. En tant que chasseur forcément, je travaille avec des mandats de recherche avec mes clients et je propose des projets clés en main, à la carte. Ça veut dire que je vais faire de la recherche, je vais faire un suivi juridique c’est à dire chez le notaire et autre. On toutes les personnes autour de nous, notamment dans la société Immoneos, qui ont vraiment aujourd’hui des gens sur lesquels vous pouvez aussi vous appuyer. Je parle de courtiers et autre, des gens qui sont importants dans votre parcours immobilier. On a aussi dans la structure des gens qui sont autour de moi là-dessus. Donc on propose effectivement tous ces services-là, donc le suivi avec notaire, quand on a des travaux ou des rafraîchissements, évidemment, on s’occupe de cette partie-là. Ameublement, quand on est sur du meublé, je m’occupe de cette partie-là. Et derrière, bien entendu, la location, la gestion.

Il faut savoir que dans tous ces points-là, je travaille de façon très étroite avec les clients, on est toujours dans le dialogue, il n’y a jamais rien d’imposé et ça veut dire, je prends un exemple : Demain, vous achetez un studio, il y a un petit peu de rafraichissement, il n’y aura jamais de devis d’imposés, au contraire moi je propose des devis, je vais proposer des solutions. Et derrière, c’est dans la discussion qu’on va dire Bon bah, on fait ça.

Sur l’ameublement, j’ai tous types de prestations : des prestations haut de gamme, moyenne gamme. Et donc, du coup, c’est pareil, on discute ensemble. Donc ça veut dire que vous, vous avez toujours des propositions et derrière vous pouvez choisir de vous positionner et autres. C’est un accompagnement clé en main pour les clients, sachant que tout de même, pour certains, ça m’est arrivé même sur des clients venant Immoneos, que parfois des personnes aient des connaissances sur Toulouse et me disent que sur cette partie travaux, j’ai mon oncle qui est ici, j’ai ma sœur qui est là. Pas de soucis, on est toujours dans la concertation, dans la discussion pour arriver au but final qui est un bon bien, une bonne location, donc c’est important.

Moi, ma méthode et comment je trouve les biens, comment je travaille. Moi, je suis un garçon vraiment de terrain, je ne suis pas le plus à l’aise en informatique, moi ma spécialité, c’est le terrain, c’est le réseau, c’est mon lieu de travail c’est ma ville. Aujourd’hui, c’est comme ça qu’on en arrive à trouver des biens. C’est avoir un bon contact avec un notaire, c’est avoir un bon contact avec le commerçant du coin, un bon contact avec le concierge et les syndics pour arriver à détenir de l’information et évidemment, de l’information confidentielle. Parce qu’aujourd’hui, le marché toulousain pour ceux qui connaissent un petit peu, vous avez un bien en annonce, en 24 heures, c’est vendu quand on a un bon prix, quand c’est intéressant. Donc, je vais arriver à passer par un marché souterrain et arriver avant la diffusion des annonces. Parce que sinon, c’est très compliqué d’arriver à faire un bon projet, arriver à se positionner sur un bien et mon travail est là, c’est d’arriver à avoir du réseau, avec les agences, avec les notaires, avec les particuliers pour pouvoir devancer un peu l’arrivée des biens en amont.

Vraiment, c’est un peu ma particularité. C’est vraiment d’essayer de trouver du off ou sinon ça peut m’arriver d’arriver vraiment le premier sur des annonces intéressantes.

Vous me voyez avec un chapeau sur la tête pourquoi je fais en fait je mets toujours un chapeau, j’aime bien les chapeaux, mais c’est aussi parce que vous avez besoin que les gens vous reconnaissent. Et moi, quand je vais à mes rendez-vous, les gens me voient toujours habillé de la même manière et ils me ciblent. Ça veut dire qu’en fait ils me gardent en tête. C’est aussi un aspect commercial de toujours avoir cette différenciation, d’avoir des petites choses comme ça, parce que les gens se souviennent de moi et me rappellent. Ah oui, c’est le chasseur Guillaume, il vient toujours avec son petit chapeau, il en a de toutes les couleurs, c’est aussi un aspect commercial. Ça, c’était le petit détail après une fois qu’on est sur des produits locatifs, généralement pour un peu rassurer les clients on fait parfois de fausses annonces par rapport aux projets qui sont cours pour montrer aux clients les résultats qu’on va avoir une fois que le bien sera loué. C’est intéressant parce que c’est aussi un peu rassurant et ça nous permet aussi d’évaluer le bon loyer, parce que quand vous avez trop d’appels c’est que potentiellement il faut être plus haut et quand vous avez un peu moins d’appels, c’est qu’au final on a mis le loyer un petit peu trop. Ça nous permet de nous ajuster, donc généralement sur une semaine on va faire un test et on prend les résultats des appels et des contacts un peu certifiés de gens qui sont allés plus loin. J’ai beaucoup de petites méthodes comme ça justement pour rassurer les clients et pour avancer.

La méthode, là j’essaie d’être le plus succinct possible, c’est un petit peu ça, c’est un peu la trame. Je vous ai mis quelques exemples de projets réalisés par des clients. Celui-là effectivement c’est un client expatrié, c’était problématique parce que c’est quelqu’un qui était au Kazakhstan et qui, derrière, est parti vivre en Corée du Nord. Donc là aussi j’ai été confronté à des politiques et à des choses compliquées mais bon, on y est arrivé. C’est pour dire que tout est possible et que les projets arrivent à se faire.

Donc là, on est dans le quartier étudiant de Rangueil. Pour ceux qui connaissent Toulouse, ils savent que c’est un quartier très étudiant. On est à proximité immédiate des universités. Ce bien était à l’achat à 84 000 euros, on avait de l’ameublement, des frais de notaire, on est arrivé sur ce type-là de rentabilité, donc là on était sur du 6% bruts. Là, je parle bien en brut, donc il y a une différence entre le brut et le net, mais je sais que la communauté Immoneos, vous êtes très précis sur ce genre de choses.

Pour expliquer un peu les différences en termes de rentabilité aussi. On est sur du brut. C’est un projet que j’ai choisi, on peut faire de meilleurs projets, on peut en faire de moins bons, mais c’est un projet qui est assez général par rapport à ce qu’on peut faire aujourd’hui sur les studios dans cette partie-là de Toulouse, sachant que là, les prix ont un peu déjà augmenté ; et en termes de prestation d’ameublement aussi ce qu’on peut un peu proposer.

Ça c’est un projet clé en main, on a les photos. Les annonces, c’est beaucoup à la photo donc effectivement, c’est un bien qu’on a loué très rapidement.

Ça, c’est un projet un petit peu plus patrimonial en hyper centre. Je veux vraiment tout vous montrer, ne pas être forcément sur du tape à l’œil en termes de projets avec des rentabilités incroyables, je vais vous montrer vraiment ce qu’on peut faire, en tout cas ce que je sors et ça c’est des projets récents.

C’est un petit 33 mètres carrés, qu’on a signé récemment. Donc là c’est hyper centre, on est un peu plus patrimonial, on a une enveloppe vous voyez à l’achat, qui est nettement plus importante. Ça, c’est vraiment on est sur le mix patrimonial, la rentabilité on est vraiment dans du patrimonial. Mais par contre, c’est un bien aussi valable de par la qualité, vous voyez la qualité aussi de la bâtisse, qu’on a loué très, très rapidement à 750 euros par mois meublé sur T2 de 30 mètres carrés, c’est assez intéressant, donc on est sur des beaux projets pareils, entièrement meublés. Je suis très content de ce projet-là.

Les colocations. Ça aussi, c’est évidemment un des points, où on peut aussi faire de la rentabilité. Ça, c’est un T4 initial qu’on avait transformé effectivement en T5 donc 4 chambres. Donc, là vous avez aussi, les montants, les détails de ce projet-là.

Ce qui m’a intéressé dans cette copropriété, pour donner un petit peu d’histoire, on voit qu’il y a des antennes sur la façade de deux côtés. En fait, c’est un opérateur qui qui a loué cet emplacement qui apporte de l’eau au moulin à la copropriété. C’est une antenne, une antenne relais et la copropriété, du coup, a peu de charges par rapport à ça, parce qu’elles sont épongées en partie par cette antenne.

Donc là, on a fait un projet, on a rajouté une chambre, on a rajouté de la plomberie, on a rajouté des salles d’eau. C’est un beau gros projet dans le quartier Croix de Pierre stratégique, c’est un emplacement stratégique entre tramway et métro, on est plus bas niveaux prix que dans l’hyper centre, mais on est quand même dans un secteur en devenir.

Donc voilà, vous avez l’adresse. Je sais que je sais que dans l’enregistrement vous pourrez visionner cette adresse et voir le bâtiment.

Ça, c’est un projet de coloc du coup en rentabilité brute on est à 7%. Il me semble même parce que là, je n’avais pas pris la gestion qu’elle a loué les chambres un peu plus cher.

Voilà, j’essaye d’être rapide, c’est un expatrié de Singapour qui a mis le projet en courte durée. Il a été propriétaire au mois de. Novembre 2020. En plein confinement. On avait la stratégie de se dire c’est bien là, on va le mettre en colocation ou en location courte durée. Je vous explique le secteur. On est à côté du plus gros pôle hospitalier de Toulouse au CHU de Purpan. On a les internes. On est vraiment en face. Évidemment, comme je disais à Toulouse, il y a des écoles un petit peu de partout, donc on a des écoles à côté et on a un T3. Et on a eu l’idée parce que j’avais déjà fait un projet similaire avant, de mettre son bien en location courte durée dans cette période qui paraît pas forcément propice. Écoutez, on a eu des résultats, je vous ai mis 1600 euros par mois en chiffre d’affaires mais on était supérieur à ça, on était à 1 700 euros en chiffre d’affaires.

Pourquoi un T3 peut paraître intéressant sans être en hyper centre ? La réponse est déjà qu’il n’y en a pas, il n’y en a pas dans certains secteurs. Beaucoup de personnes font de la location de courte durée en hyper centre sur du tourisme mais on oublie le professionnel. Du coup, si vous voulez on a beaucoup d’appartements qui sont en vente en location courte durée, mais il nous en manque un petit peu dans d’autres secteurs que l’hyper centre. Et en fait, de faire un T3 ça a donné la possibilité d’avoir des gens avec des enfants et surtout beaucoup de personnes qui viennent malheureusement par rapport à cette pandémie, comme des internes qui viennent sur de courtes durées.

On a du professionnel parce qu’on à Blagnac, juste à côté, l’aéroport de Toulouse et on a une grosse station Airbus qui est juste à côté. On a du Airbnb professionnel et aussi du fait d’avoir une place de parking et de l’espace, on a aussi un petit peu du tourisme. D’avoir une stratégie un peu différente de ce que fait un petit peu tout le monde, ça nous a permis justement de rentabiliser cet appartement-là, qu’il pourra louer si demain ça ne marche plus, en colocation, voire en location standard. Je vais revenir mes T3 derrière.

Je vous fais maintenant un petit peu le constat et l’analyse que je fais du marché toulousain avec cette crise sanitaire. Comme je disais tout à l’heure on a l’émergence du télétravail et on a eu pour la première fois de la complication à louer certains studios ou biens à vocation étudiante parce qu’effectivement, les étudiants sont restés chez papa et maman.

Les étrangers ne sont pas venus et on a une grosse affluence aussi d’étrangers et d’étudiants étrangers qui viennent à Toulouse pour faire leurs études et donc on a eu plus de difficulté à louer. C’est la première fois qu’on a vécu ça. Il a fallu un peu revoir les stratégies à court terme et surtout pour le long terme, sait-on jamais avec cette situation de stop and go avec des confinements redéfinir comment travailler.

On a observé évidemment que le confort extérieur devenait important. Le petit jardin quand on est sur des projets plus importants, mais surtout le petit balcon quand on est en hyper centre. Le petit balcon, il est demandé.

Les biens qu’on a loués le plus facilement, ce sont les biens qui restent quand même centraux et bien placés.

Étant donné que là, on s’est retrouvé dans une situation inverse car d’habitude on a une tension locative énorme, là on a eu les étudiants ou les gens qui voulaient louer voulaient un peu plus de choix. Forcément, ils se sont tournés vers l’hyper centre. Donc en fait, c’est l’hyper centre mine de rien, qui est resté le grand gagnant, parce que les biens dans l’hyper centre se sont loués beaucoup plus facilement, plus vite et aux mêmes prix qu’avant la crise. Ça aussi, c’est un point à connaître. Donc il faut avoir ce mix entre qualité patrimoniale et investissement. Donc actuellement, on voit qu’il y a un retour des étudiants, des stages pour l’année prochaine parce qu’on ne sait pas encore comment on va être mangé mais on espère bien que les choses vont revenir. Effectivement, on a une grosse demande qui est en train de revenir. Tout est en train de se renouer en ce moment. Mais voilà, il faut retenir les enseignements de cette crise, c’est que le patrimonial, l’extérieur et les surfaces un peu plus grandes, T1 bis voir T2 ou le T3 qui est complètement multimodal, on peut faire de la courte durée, de la colocation ou de la location nue, ce sont des biens qui marchent bien, intéressants. Après, évidemment, vous prenez un studio et les choses repartent à la normale, vous n’aurez aucun mal à le louer. Aujourd’hui, j’ai de la chance car je n’ai aucun studio vacant et j’ai déjà de la demande pour les studios qui vont venir. Mais il faut quand même avoir cette petite idée en tête parce que c’est la réalité, la réalité du marché.

Remi

Guillaume, si je peux me permettre, il y a quelques questions qui vont en prolongement de ce que tu as dit.

Notamment, tu parles des petites surfaces, qu’est-ce qu’il en est des très grandes surfaces ? Est-ce qu’il y a de la demande à Toulouse pour aller plutôt vers l’appartement familial grande surface ? Est=ce que tu fais ce type d’investissement ?

Guillaume

Bien sûr. Tu vois j’arrivais juste la partie des questionnements. Effectivement, il y a toujours cette demande qui est présente. Moi, évidemment, je fais de gros projets. Si vous voulez, je peux faire des projets de maison qui sont demandés pour la location, c’est extrêmement demandé. Voilà, c’est encore un autre marché, mais c’est extrêmement demandé : les colocations dans les maisons, c’est encore plus demandé. Les immeubles de rapport, ça c’est aussi quelque chose d’autre que je fais pas mal en ce moment. Évidemment, ce sont des projets que je maîtrise, et là, mais des fois, on est plus sur des choses techniques, avec de la division, des fois même des projets de surélévation quand on bosse plus pour des investisseurs un petit plus aguerris.

Mais effectivement, sur les T4 et les T5 on a de la demande, que soit sur de la location classique standard ou alors en location en meublé ça va être plus de la colocation, évidemment mais quand c’est meublé nu, par contre, on a beaucoup de demandes au niveau des familles. Ce sont des marchés qui sont complètement différents et effectivement, on a aussi de la demande là-dessus.

Remi

Il y a eu des questions dans le tchat, continuez à poser vos questions comme à chaque fois.

Allez plus loin avec ces 3 dossiers sur le même thème :

Partager l'article

Rejoins la communauté

C'est gratuit, Il suffit de résider hors de France